Nouvelle Bible Segond

Seconde aux Corinthiens 1:7-20 Nouvelle Bible Segond (NBS)

7. Et notre espérance à votre égard est ferme, car nous le savons : comme vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à l’encouragement.

8. En effet, frères, nous ne voulons pas que vous ignoriez la détresse que nous avons connue en Asie : nous avons été accablés à l’extrême, au-delà de nos forces ; nous désespérions même de rester en vie.

9. En nous-mêmes, nous avions accepté notre arrêt de mort ; c’était pour que nous ne mettions pas notre confiance en nous-mêmes, mais dans le Dieu qui réveille les morts.

10. C’est lui qui nous a délivrés et nous délivrera d’une telle mort. Oui, nous avons mis en lui notre espérance, et nous espérons qu’il nous délivrera encore.

11. Vous y contribuerez vous-mêmes en priant pour nous ; ainsi beaucoup auront obtenu ce don de la grâce en notre faveur, et beaucoup en rendront grâce pour nous.

12. Car notre fierté, c’est le témoignage de notre conscience : nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec une simplicité et une sincérité qui viennent de Dieu ; non pas avec la sagesse de la chair, mais avec la grâce de Dieu.

13. Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez et comprenez. J’espère que vous comprendrez pleinement,

14. comme vous l’avez déjà compris en partie, que nous sommes votre motif de fierté, et vous le nôtre, au jour de notre Seigneur Jésus.

15. C’est avec cette confiance que j’avais d’abord décidé de venir vous voir, pour que vous ayez une seconde grâce,

16. pensant ensuite passer de chez vous en Macédoine, puis revenir de Macédoine chez vous et recevoir de vous ce dont j’aurais eu besoin pour me rendre en Judée.

17. En décidant cela, ai-je donc fait preuve de légèreté ? Est-ce que je prends mes décisions selon la chair, de sorte qu’il y aurait toujours en moi le « oui » et le « non » ?

18. Dieu est digne de confiance : la parole que nous vous avons adressée n’a pas été « oui » et « non ».

19. Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, que nous avons proclamé parmi vous, moi, Silvain et Timothée, n’a pas été « oui » et « non » : en lui il n’y a que « oui ».

20. Si nombreuses que soient les promesses de Dieu, c’est en lui qu’elles sont « oui ». Voilà pourquoi c’est aussi par lui que nous disons à Dieu l’amen, pour sa gloire.